[dropcap]P[/dropcap]our le lancement de son nouveau produit Jack Daniel’s Tennessee Fire la marque américaine a choisi l’endroit parfait, une ancienne distillerie réaménagée en banlieue parisienne. Pari risqué quand on sais que le mot banlieue effraie certains parisiens. De l’extérieur l’espace clacquesin ressemble à une salle de réception classique mise à part le fait qu’il y ait une cheminée d’usine impressionnante en brique façon 30 glorieuses. A l’intérieur c’est une autre histoire.
#1 Acceuil Jack Daniel’s
[dropcap]B[/dropcap]ien accueillie dès l’entrée, deux hôtesses nous propose de déguster un shoot de Jack Daniel’s Tennessee Fire, l’objectif, arriver à trouver l’épice qui fait le gout si particulier de cet alcool. le gout de la cannelle se marie très bien avec le bourbon. Niveau décoration, l’ancienne distillerie a été redécorée aux couleurs de la marque, les bouteilles de Jack Daniel’s et autre goodies se mêlent aux tuyauteries de cuivre de l’usine. Un stand de flocage de t-shirts est à disposition des convives pour personnaliser son t-shirt Jack Daniel’s bien sur.
#2 Jack Daniel’s, le concept de soirée
[dropcap]U[/dropcap]ne première salle avec de grandes baies vitrées où l’on aperçoit un premier bar, la carte nous propose 3 cocktails à base de Jack Daniel’s Tennessee Fire. Après avoir siroté le premier, la salle principale nous est ouverte. A l’intérieur, c’est une immense salle (surement la ou étaient auparavant entreposer les énormes cuves servant aà distiller l’alcool), un énorme bar trône au milieu avec une déco on fire. Palette est feux artificiels, avec en trophée un superbe cube de glace aux couleurs de la marque. à gauche 3 foodtrucks ont été disposé pour le plaisir de nos palet. le frie chicken sauce beurre de cacahuète accompagnée du cocktail Jack Daniel’s Tennessee Fire orange font bon ménage.
#3 Les concerts Jack Daniel’s
[dropcap]N[/dropcap]iveau musique la marque Jack Daniel’s ne s’est pas moqué de nous. Une fois l’estomac bien rempli, pour le plaisir de nos oreilles la soirée démarre avec l’impératrice. Mené par charles de boisseguin le groupe s’adonne à raviver notre flamme des années 80’s avec ses sonorités disco/funk sans oublier le côté pop à la française. A notre grande surprise le groupe est maintenant accompagné d’une chanteuse. ce qui ajoute un léger fil conducteur sans jamais pour autant prendre le pas sur les différents instruments, bien amené pour le coup.
La suite, un collectif de DJ, La Mamie’s. ce crew parisien opère depuis 2007, leur devise :« promouvoir l’esprit d’une fête libre et décomplexée ». Des dj’s à l’ancienne puisqu’ils mixent sur platine vynil ( la particularité des platines vynil, il faut être capable de caler un morceau à l’oreille et sans bouton SYNC, cela laisse moins de temps pour s’occuper de la sélection des tracks… Dans le milieu de la musique électronique le débat entre platines vinyle et platine CD est sans fin. Revenons à la performance de La Mamie’s, ils nous ont sorties leur plus beaux Vynil, quoiqu’un peu trop disco house à notre goût, pour un groupe qui se défend d’être cantonné a un seul style musical nous avons trouvé leur set pas assez varié. Adaptation du collectif au contexte de la soirée, surement.
En tout cas Jack Daniel’s nous en a mis plein la vue.