Faut-il forcément dépenser des milliers d’euros pour une montre de luxe ? Plus maintenant – c’est en tout cas ce que veut croire The Electricianz, jeune marque de montres Suisse, qui fait le pari ambitieux du luxe à un prix abordable. Et elle s’en donne les moyens : inspirée des cultures underground et de l’univers de l’électricité, The Electricianz arbore un design original, développé en Suisse par des spécialistes de la haute horlogerie. Et le design, justement, est ce qui frappe le plus à première vue: le mécanisme interne de la montre, revendiquée quartz, est rendu visible, soulignant le chemin de l’électricité depuis la batterie jusqu’au cadran, en passant par les câbles conducteurs. On aime ou on déteste – mais nous, on l’a aimée pour son originalité son énergie steampunk.
The Electricianz, les “électro-punks” du monde du luxe
Un batterie, des câbles, un cadran : selon les mots du CEO Laurent Rufenacht, l’idée était de rendre visible le principe de la transmission électrique, concept décliné tant dans le design horloger que dans l’univers de la marque et des modèles. Le principe est simple : revenir à la curiosité de comprendre “comment les choses marchent” vraiment. Dans le monde du luxe, sortir une montre quartz avec un design fort mais qui reste simple et “terrien”, c’est un gros pied de nez à la surenchère aux “complications” que se livrent les géants du luxe.
The Electricianz, c’est un peu les “électro-punks” de l’horlogerie Suisse – ce qui ne les empêche pas de se faire remarquer à des événements d’envergure internationale comme la Foire de Bâle.
Des modèles aux inspirations steampunk
L’électricité, c’est aussi et avant tout une énergie qui se décline dans les différents modèles, tour-à-tour vive, fun, sombre ou ludique selon les modèles proposés. The Electricianz possède deux collections.
L’Electric Code
Elle rassemble des modèles plus classiques, mais toujours avec ce zeste de provocation punk.
La dernière sortie est l’estivale S.NOW – acronyme de “Summer Now” – qui décline le design original en blanc et bronze pour une allure sportive et mondaine.
La Dresscode, d’une élégance traditionnelle légèrement détournée, aux couleurs subtiles et aux codes de l’élégance urbaine
La Blackout, noir sur noir, dont le cadran fait de carbone souligne subtilement le design et évoque les explorations nocturnes en solitaire
La Mokaz, dans des tons plus ocres pour une ambiance tout droit sortie de Tatouine et ses ferrailleurs.
L’Electric Art
Où tout est permis et les limites de la créativité repoussées.
L’Ammeter : jaune éclair, incrustations rouges, c’est le modèle le plus frappant à la créativité débridée
La Cable Z : seul modèle à arborer un enchevêtrements de câbles visibles, elle décline le design original dans un ensemble frais et décalé
Les montres suisses aux “complications” électriques
Qui dit électricité dit lumière, et c’est une dimension que les montres The Electricianz intègrent complètement à leur design. La petite led qui éclaire le cadran dépasse largement l’aspect pratique: de nuit, elle révèle une autre facette de la montre. Les ombres soulignent le métal du cadran, la lumière perce par des petites fentes jusque là invisibles… et toutes les montres se colorent différemment sous les UV des boîtes de nuit…
Poussant le pied de nez un peu plus loin, ces innovations sont baptisées “complications électriques”, et la marque compte bien continuer de jouer sur cette ambivalence entre la belle de jour et la reine de la nuit.
Les #Voltloverz, une communauté survoltée
L’ambition de The Electricianz ne s’arrête pas aux montres : c’est une véritable communauté de #Voltloverz que la marque veut rassembler autour de ses objets, des amateurs d’art au sens large, des individus énergiques qui célèbrent la vie avec une bonne dose d’humour et de second degré. Selon son CEO, la marque lancera à l’avenir des objets divers, originaux, parfois iconoclastes, mais toujours aux standings élevés du luxe.
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